ONEY BANK : "Un robot au service de l’industrialisation des contrats"

Oney Bank est une entreprise du secteur bancaire, filiale d’un groupe international. Elle compte un peu plus de 1 000 collaborateurs en France. La direction juridique en France comprend 7 salariés et une personne en contrat d’alternance.

Elle est représentée ici par Marie Le Goanvic Segret, Responsable du Pôle juridique « Consommation – Partenariat Crédit – Lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme ».

Marie Le Goanvic Segret, Responsable du Pôle juridique « Consommation – Partenariat Crédit – Lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme »

Sur cette page vous pouvez consulter la vidéo et présentation en vidéo et texte.
(Les innovations des 6 finalistes sont accessibles ici)

La problématique : Le projet est né de la volonté d’industrialiser le processus contractuel de recrutement des partenaires commerciaux de l’entreprise. Selon le partenaire et son réseau de distribution en effet, cela pouvait représenter entre 150 et 700 contrats à rédiger et signer, à saisir manuellement dans l’outil, à envoyer par courrier postal pour signature, puis, après retour, à scanner et ressaisir dans l’outil. Le tout, avec des risques de pertes et d’erreur importants et sans exhaustivité dans le suivi.

La solution : Automatiser le processus contractuel, en concevant un robot. Celui-ci vient chercher les informations, identifiées comme des variables dans les modèles de contrats de l’entreprise, depuis un fichier excel alimenté désormais en automatique. Il se connecte ensuite au logiciel de gestion des contrats, crée automatiquement la fiche associée et génère une version PDF du contrat. La version électronique du contrat est ensuite transmise automatiquement pour signature (électronique) au partenaire concerné et au directeur juridique.

La proposition de valeur : La mise en place du robot a déchargé les équipes juridiques des aspects administratifs à faible valeur ajoutée, chronophages et irritants de la chaîne contractuelle. Les équipes métiers n’ont plus à embaucher en temps plein sur des postes dédiés à la saisie des contrats. Un second bénéfice se mesure en termes d’efficacité opérationnelle : avec le robot, 14 contrats sont traités automatiquement en 15 minutes (contre 1 contrat dans le même temps en traitement manuel).